Points roman p. 115
« Et c’est ainsi », poursuivit-il, utilisant une formule de transition habituelle à ses sermons, « qu’il est rare de pouvoir aider quelqu’un. Soit on ne sait pas quelle partie de soi donner, soit on n’a pas envie de la donner. Ou alors, souvent, ce dont quelqu’un aurait besoin, il ne veut pas qu’on le lui donne. Et plus souvent encore, cette partie de soi qu’il faudrait donner, eh bien, on ne l’a pas.