Denis de Rougemont Journal d’un intellectuel en chômage

Fleuron N’habitez pas les villes p.110

Tout cela probablement parce que j’étais à bout de ressources, ne bougeais plus ni pied ni patte, et n’écrivais plus à personne. Je crois à la valeur d’appel de l’absence, ou plutôt du retrait. (Il ne faut pas que ce soit une feinte, bien entendu, cela ferait tout rater; il faut un véritable non espoir.) 

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