Ghyslain Clement (moi)

réponse à evenbio

Si je veux arriver à votre niveau, j’ai du pain sur la planche.
Mais comme cela ne mange pas de pain. Je me lance.
Comme vous dites, c’est du pain bénit pour moi de vous répondre.
Je vous offre ma réponse pour une bouchée de pain.
Ce n’est pas mon pain-quotidien, ni mon gagne-pain.

J’espère que vous ne direz pas, je ne mange pas de ce pain là.
En pensant que je vous ôte le pain de la bouche.
Je suis bon comme le bon pain.
En moi vous avez laissé germer une idée.
Et de semer ce texte comme une poudre de perlimpinpin.

Les jours sont pour moi souvent longs comme un jour sans pain. D’attendre.
comme dit l’expression « no pain, no gain »
et j’espère ne pas semer en terre ingrate.
j’espère qu’en retour vous ne me mettrez pas au pain sec et à l’eau
et j’espère aussi par ce texte ne pas vous faire passer le goût du pain.

Vous êtes loin, inaccessible. Pain dérobé réveille l’appétit.
Offrir l’amitié à qui veut l’amour, c’est donner du pain à qui meurt de soif.
Mais le pain que je cuis à autant de croute que de mie.
Et se mange sans fin (faim).
Le manger à deux agrémenté de vos paroles le transformerait en pain dessert.

Pour venir vous voir de l’autre coté de l’océan,
Il faudrait que je gagne mon pain à la sueur de mon front
Ne me dites pas que je ne vaux pas le pain que je mange.
Mais j’ai plus souvent mangé mon pain noir que mon pain blanc.
J’espère qu’un échange avec vous pourrait m’y emmener.

En tout cas, ça ne mange pas de pain d’essayer…

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